Le mental, séparé du sentiment, s’est perdu dans son raisonnement sans les soutiens de la foi, la considérant comme une faiblesse.
Pour juger du cœur d’un homme, est-il prompt à pardonner, ou à bannir celui qui est pris en faute sans pitié ni jugement ?
Certains humains ne se rendent pas compte que leurs maux proviennent de leur méchanceté.
Le mal n’est pas éternel, car il finira par revenir à Dieu en bien, transformé, retrouvé, éveillé, réveillé, repentant, et joyeux.

