L’homme n’est-il pas le point culminant de toute la Création ?! Si cela est un fait incontestable, l’acte procréateur d’un être humain peut-il être un acte quelconque?
La procréation animale est rigoureusement programmée, et ne peut donc que s’accomplir dans un ordre rigoureux. Par contre la procréation humaine est entièrement libre; par elle est déposée dans l’embryon la première semence libre de laquelle doit naître un nouvel être humain libre.
Mais comment ce but sacré pourrait-il être atteint si dès le premier acte, le plus important, où la chose la plus élevée est en jeu, où il s’agit du devenir du point culminant de la création, il était permis qu’il s’accomplisse dans le plus total manque de respect?
En vérité il s’agit d’un grand prodige, il s’agit de procréer un être humain qui est destiné pour une vie éternelle comme un fils de Dieu pour accomplir avec Dieu des œuvres divines !
Un tel acte de procréation devrait-il s’accomplir sans aucune règle ?! O quelle est myope la raison humaine qui se croit saine et qui est pourtant pleine d’ulcères purulents
Le mariage est au premier plan de l’ordre divin dans lequel un être humain doit être procréé pour être apte de s’engager dans l’ordre évolutif vers des sphères supérieures !
Le mariage est une union libre de deux cœurs, de deux âmes, et de deux esprits lesquels fusionneront un jour en Moi Le Seigneur, ce qui est le but final de toute existence.
Comment et quand cela devra s’accomplir, si la première condition n’est pas réalisée dans un vrai mariage bien ordonné dans lequel l’acte sacré de la procréation déposera la semence sacrée ?!
Comprenne celui qui veut bien le comprendre ! Par l’impudicité, la paillardise diverse, l’adultère et la prostitution de la chair, on ne peut procréer un fruit agréable à Dieu !
Tout cela n’est que péché sur péché ! Car Moi Dieu le Seigneur, Je suis l’ordre absolu et Je ne peux admettre, que l’homme en tant que la couronne suprême de Ma création soit procréée dans la fange des marais nauséabonds à l’instar des grenouilles.
(Les Dons du Ciel, Vol. II, Chap.355,12 -19)
