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AU PRINTEMPS 1840, l'Opéra de Trieste offrit à Lorber le pupitre de chef d'orchestre. Le matin du 15 mars 1840, à 6 heures du matin, au moment de se lever pour rédiger sa réponse affirmative à l'Opéra de Trieste qui lui ouvrait enfin les portes d'une carrière digne de tous ses talents, une voix intérieure lui intima avec clarté: « Lève-toi, prends ta plume et écris... » Lorber suivit cet appel mystérieux, prit sa plume et écrivit mot à mot ce qui lui était dicté de l'intérieur. Abandonnant tous ses intérêts personnels, il se consacra totalement jusqu'à sa mort à ce travail de scribe du Seigneur, rédigeant près de vingt cinq volumes. A PROPOS DE CETTE VOIX INTERIEURE Lorber écrivait en 1858 : « Quant à dire comment on perçoit cette parole intérieure, je puis seulement dire en ce qui me concerne, que je perçois la sainte parole du Seigneur dans la région du coeur, comme une pensée extrêmement claire, lumineuse et pure, et comme une parole prononcée et que nul ne peut entendre, aussi proche soit-il de moi ! Pourtant cette voix de la grâce résonne en moi plus distinctement que l'éclat de n'importe quel son matériel. C'est tout ce que je puis dire de mon expérience. »

Les fondements de la réalisation spirituelle. De l’être de Dieu

1. (Le Seigneur 🙂 « Tu vois par là qu’il est impossible à un homme de parvenir à la maîtrise de la vie sans une vraie foi vivante en un Dieu unique et éternel. C’est pourquoi il faut avant tout croire au vrai Dieu ; car tant que tu ne crois pas qu’il n’y ait […]

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Dialogue du médecin et de l’aubergiste à propos du Seigneur

1. Quand nous fûmes installés pour la nuit, le publicain, son fils, ses autres enfants et ses épouses — car, selon la coutume orientale, il en avait sept — nous laissèrent aussitôt, de même que ses nombreux fonctionnaires et autres serviteurs, et nous dormîmes bientôt tout à notre aise, car nous étions bien las de

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De l’humain et du divin dans le Seigneur

1. Cependant, dès avant l’aube, J’étais debout avec quelques-uns de Mes disciples, et, selon Mon habitude, Je sortis en plein air et allai au bord de l’Euphrate, qui, en ce lieu, était déjà d’une largeur considérable. Nous étions là depuis peu quand un grand radeau de bois flotté passa devant nous au milieu du fleuve.

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Le médecin reçoit du Seigneur la force de guérir les malades par l’imposition des mains

1. Là-dessus, nous regagnâmes la maison de Jored, où un très bon repas nous attendait dans la pièce que l’on sait, ainsi que les disciples, qui n’étaient pas sortis ce matin-là. Prenant place à la table, nous mangeâmes et bûmes. Le repas consistait en poissons, pain d’épices et viande d’agneau, et le vin, qui était

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La nécessité, moyen d’éduquer les hommes

1. (Le Seigneur 🙂 « Ainsi, tout ce qui existe n’est permis qu’afin de pousser l’homme à s’améliorer. Car tout devenir suppose une activité, et celle-ci à son tour suppose un mobile et un levier, qui bien sûr doit toujours correspondre pleinement à la nature de l’activité. 2. Par conséquent, il faut considérer que tout

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Remerciements et bonnes résolutions d’Hélène

1. Hélène dit : « Ô père, quel mortel n’eût jamais pu en avoir ne serait-ce que le plus faible pressentiment ? De plus, malgré toute notre bonne volonté, nous étions encore trop profondément enfoncés dans le paganisme pour être capables de penser assez clairement pour concevoir si peu que ce fût la possibilité de

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