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AU PRINTEMPS 1840, l'Opéra de Trieste offrit à Lorber le pupitre de chef d'orchestre. Le matin du 15 mars 1840, à 6 heures du matin, au moment de se lever pour rédiger sa réponse affirmative à l'Opéra de Trieste qui lui ouvrait enfin les portes d'une carrière digne de tous ses talents, une voix intérieure lui intima avec clarté: « Lève-toi, prends ta plume et écris... » Lorber suivit cet appel mystérieux, prit sa plume et écrivit mot à mot ce qui lui était dicté de l'intérieur. Abandonnant tous ses intérêts personnels, il se consacra totalement jusqu'à sa mort à ce travail de scribe du Seigneur, rédigeant près de vingt cinq volumes. A PROPOS DE CETTE VOIX INTERIEURE Lorber écrivait en 1858 : « Quant à dire comment on perçoit cette parole intérieure, je puis seulement dire en ce qui me concerne, que je perçois la sainte parole du Seigneur dans la région du coeur, comme une pensée extrêmement claire, lumineuse et pure, et comme une parole prononcée et que nul ne peut entendre, aussi proche soit-il de moi ! Pourtant cette voix de la grâce résonne en moi plus distinctement que l'éclat de n'importe quel son matériel. C'est tout ce que je puis dire de mon expérience. »

« Dès lors, beaucoup de ses disciples s’en retournèrent ; ils ne marchèrent plus avec lui ».

(Jean 6, 66) (le 8 février 1844) 3. Pourquoi donc beaucoup de Mes disciples s’éloignèrent de Moi et ne voulurent plus marcher avec Moi, quand Je leur donnai l’enseignement de se nourrir de  Ma Chair et de Mon Sang ? La cause de ce comportement était en premier lieu dans la paresse de Mes disciples, mais […]

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Du maître de construction sensé et de l’insensé.

(Mt. 7, 24-27) (le 22 décembre 1843) 3. Qui donc est le maître de construction sensé ? Certainement celui qui, avant cela ,  s’est complètement raffermi  par l’obéissance aux deux commandements bien connus ! 5. Et voyez, un homme éveillé par les commandements de l’amour, est un édifice bâti sur le roc. Les vents qui viennent frapper l’édifice, 

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« Les esprits impurs supplièrent Jésus en disant : Envoie-nous dans ces pourceaux pour que nous entrions en eux ! ».

(Marc 5, 12) (le 9 février 1844) 6. Pourquoi le Seigneur demande-t-Il au démon quel est son nom, puisqu’il était connu de l’Omniscient que non seulement un, mais une légion entière de démons faisant le mal étaient présents dans cet homme possédé ? Le Seigneur n’a certainement pas demandé cela comme s’il voulait connaître le nom

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« Je suis la Voie, la Vérité et la Vie; nul ne vient au Père, que par Moi. »

(Jean 14:6) (le 27 décembre 1843) 3. Il est certain que le Père est l’éternel Amour en Moi, comme Moi Je suis dans tout Mon Être divin parfaitement en Lui de toute éternité. Parce que Moi et le Père sommes Un, ou Moi et Mon Amour éternel sommes Un, ou, comme l’Amour habite éternellement dans

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Une bonne règle à suivre pour mettre à profit la lecture de l’ancienne et de la nouvelle Parole.

(le 20 décembre1843) 1. Mes chers enfants ! Avec les rappels qui vont suivre, Je veux vous donner une règle importante et utile, sans laquelle vous ne pourrez pas tirer profit de la lecture de livres spirituels, quels qu’ils soient. Vous pouvez lire et relire mille fois les Saintes Écritures, comme cette nouvelle Parole d’ailleurs,

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