1. Le Romain Marc dit alors : « Seigneur et Maître, pour moi du moins, tout est clair à présent : mais je comprends aussi très clairement que les hommes qui entendront cela ne le comprendront pas : car il faut pour cela des connaissances préalables extraordinaires ! Cela nous est certes facile, à nous […]
Paraboles du royaume de Dieu Lire la suite »
1. Le Romain Marc répondit, et Agricola avec lui : « Seigneur et Maître, nous T’avons sans doute compris, et nous voyons bien que c’est une condition indispensable, pour tout homme qui veut avoir la certitude véritable de pouvoir un jour entrer dans Ton royaume, que de balayer loin de lui ce nuage de l’amour
De l’importance de l’exemple Lire la suite »
1. Le disciple Jean Me demanda s’il devait lui aussi prendre note de ce qui s’était dit et fait, pendant qu’il en était encore temps. 2. Je lui dis : « Ce que Matthieu a consigné suffira : quant au reste, ce n’est pas pour le peuple, encore moins pour ces porcs humains que J’ai
La parole et l’action valent mieux que les écrits. Des vrais et des faux évangiles Lire la suite »
1. Là-dessus, M’adressant de nouveau au Romain Marc, Je lui demandai s’il avait compris lui aussi. 2. Marc répondit : « Si j’ai compris ! Cependant, je suis toujours occupé de cette Lune qui serait une sorte de pénitencier pour les hommes trop avides du monde. Tu nous as promis de nous dire et de
L’onction de Béthanie Lire la suite »
1. Un docteur de la loi, qui était avec nous en tant que converti, dit alors : « Seigneur et Maître, Tu viens de dire à la glorieuse Marie de Magdalon que Tu étais Toi-même un vrai pain des cieux et aussi un vrai vin, et que celui qui goûterait de ce pain et de
De la mort de l’homme Lire la suite »
1. Je dis : « Je ne puis te donner tout à fait tort en cela : car Je ne suis Moi-même pas du tout d’accord avec cette façon de mourir ordinaire ! Mais qu’y puis-Je si les hommes eux-mêmes font en sorte de mourir d’une manière si cruelle et si désagréable ? Si seulement
Des causes des souffrances qui précèdent la mort Lire la suite »
1. Le docteur de la loi : « Seigneur et Maître, ce n’est qu’à présent que je comprends clairement cette question de la mort : cependant, je voudrais bien que Tu m’expliques encore deux points qui, il est vrai, ne concernent pas directement l’acte de la mort, mais lui sont accessoires. Car, lorsque nous répandrons
Du but de la lente décomposition des cadavres Lire la suite »
1. Quand ils se furent ainsi exprimés, Agricola s’avança de nouveau vers Moi et Me dit : « Seigneur et Maître, chez nous, Romains, les corps sont incinérés, surtout ceux des personnes de qualité, et les cendres conservées dans des urnes et des pots en des lieux réservés à cet effet : quant aux plus
De l’incinération et de l’embaumement Lire la suite »
