Là où se trouvent [sur le chemin vers Moi] des esprits humains qui sont si grossièrement matériels, là vous devez d’abord M’aplanir la voie, parce que Mon Ordre très spirituel ne doit jamais venir en contact direct avec la matière ; et tu vois, pour ceci vous êtes nécessaires en tant que médiateurs.
Au contraire là où les esprits savent très bien ce qu’ils sont, Je peux rapidement M’approcher Moi-même avantageusement sans les endommager.
Mais comme les habitants des montagnes déjà sur la Terre vivent beaucoup plus sobrement que les insatiables habitants de la plaine, ainsi sont aussi les esprits qui vivent sur les montagnes. S’ils demandent, on doit leur concéder quelque chose, et ils sont vite satisfaits.
Ce serait une erreur de ne rien donner ; ceci les attristerait beaucoup et à la fin ils deviendraient à nouveau très impétueux et perdraient toute confiance.
4. Pour cette raison de temps en temps il se passe, qu’à de tels hommes sur la Terre, dans les lieux de pèlerinage, il leur est concédé une quelconque grâce demandée.
Une semblable concession n’est pas vraiment utile, parce qu’elle renforce les suppliants seulement dans leur superstition ; mais si Je ne concédais vraiment rien, à la fin ils perdraient toute foi et ceci serait pire encore.
Si on doit choisir entre un mal majeur et un mal mineur, il est sûrement mieux de choisir le mineur.