On ne doit pas réconforter ceux qui souffre à cause de l’amour mondain.

Ans. H. rend heureux le Seigneur pour avoir suivi Son Conseil sur l’éducation des filles. Le vrai sérieux d’amour. 13 janvier 1842

 

À mon cher A.H. – le diligent de la Parole ! Ecoute, hier tu étais un homme selon Mon Intention ! Reste ainsi ; alors Je resterai aussi près de toi et dans toute ta maison ! Ne te préoccupe pas des larmes du monde !

Et tu ne doit jamais t’émouvoir des larmes de tes filles après la perte de choses mondaines ! Alors tu seras apte pour Mon Royaume.

2. Lorsque quelqu’un tombe malade à cause de l’amour mondain, parce que son esprit a été déchiqueté à cause du monde et de l’amour de lui-même, tu vois, celui-ci est opprimé de la croix de Ma Miséricorde.

Celui-ci ne doit pas être réconforté avant qu’il n’ait accepté volontiers sa croix avec amour.

3. Si cependant il l’a fait, alors il a aussi déjà le réconfort le plus sûr sur ses épaules. Donc cela ne devrait pas éprouver trop ta compassion si tes justes paroles forcent les tiens aux larmes !

En effet en vérité tu vois : en cette occasion tu M’as, pour la première fois, à juste titre compris et tu M’as rendu fidèlement ce que Je t’ai donné pour toi dans l’esprit du vrai amour pour Moi et pour toi.

4. Mais Je te dis : il serait mieux que tu abandonnes ta famille entière et Me suives plutôt que de devoir leur concéder quelque indulgence mondaine en Mon Nom.

Et si tu ne pouvais pas faire cela, comment serais-tu digne de Moi ? Donc reste solide en Mon Nom ; cela est une vraie et sérieuse preuve d’amour !

5. Tu vois, tous ces travaux de paillettes des filles Me dégoûtent tellement que Je ne peux pas les regarder ! Elles devraient plutôt rapiécer du linge pour les pauvres plutôt que de broder de futiles cadeaux pour les riches !

6. Alors Je serai sûrement plus près de leurs tables de travail que Je ne l’ai été jusqu’à présent ! Tu vois, Je te dis qu’hier Tu m’as donné une joie si grande que pour cela J’ai passé sensiblement toute la nuit près de toi. Si les circonstances l’avaient exigées (tu le devineras facilement !), tu M’aurais vraiment vu personnellement.

7. Reste ainsi, suis-Moi ainsi, et ainsi Je viendrai chez toi et te tirerai, Moi, ton Jésus ! Comprends-le, ton Abba Emmanuel te dit cela, pour que dans futur tu doives Me suivre courageusement. Amen.  DC2 CH193 DC2.pdf (retour-du-christ.fr)

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